Victor Ginsburgh
J’ai traversé, comme vous pouvez le penser, de très mauvais moments: hôpitaux de toutes sortes, médecins pas toujours agréables, et incapacité de marcher du tout. Un peu plus tard, j’ai “reçu” une béquille, que je cache de plus en plus souvent dans un coin de ma bicoque.
Je monte et descends les escaliers sans béquille à tel point que souvent je ne sais plus où je l’ai laissée, ce qui me fait de nouveau monter ou descendre. Ouf, sauf que les promenades sont encore difficiles et je tiens à ma canne (c’est quand même un mot plus élégant que béquille), à moins que ce ne soit elle qui tient à moi.
Me voici revenu pour aider, pour autant qu’il en ait besoin, mon collègue blogueur Pierre qui m’a souvent houspillé de m’y remettre.
Voilà la chose est faite ou comme le disait Jules César alea jacta est, et le Rubicon est presque traversé, sans doute encore avec ma canne.
Vous ne m’en voudrez pas, je l’espère, d’être lent dans mon écriture autant que dans mes déambulations dans (ou sur) l’internet qui, souvent me permettent de trouver des sujets bien plus importants que ceux qui sont dans la cervelle de mon âge qui devient de plus en plus respectable.
J’ai quelques sujets dans ma poche, mais ceci est une autre histoire, et je me permettrai de ne pas rallonger ce premier blog nouveau, comme le vin peut l’être. Hélas, mes proches surveillent ma consommation à un verre par jour...
On se revoit dans quinze jours, je ne veux pas être plus long… à ton tour, très cher Pierre.
Salut Victor,
RépondreSupprimerBien contant de te savoir à présent "bon pied ...enfin presque et bon œil". Hé oui, les années commencent à sérieusement compter. Je te souhaite un bon rétablissement. Au plaisir de retrouver ta sympathique prose.
Cordialement
Pierre Gallez (Pierrot)
Je ne suis pas très "content" d'avoir écrit ici plus haut "CONTANT". Comme quoi, une voyelle peut ternir votre réputation.
SupprimerEnfiiiiiiiin ! Victor est sorti du tombeau ! "je monte et je descends sans tomber", écris-tu. Mais non, tu montes, tu montes, comme tu as toujours monté !
RépondreSupprimerHeureux qui , comme Ulysse , a fait un long voyage !
RépondreSupprimerBienvenue Victor sur ton blog.
michel vda
Welcome back Victor! Tu nous as manqué. On ne doute pas que tu as quelques sujets en tête. On les attend.
RépondreSupprimerà l'instar de cette béquille qui se demande sans doute quand tu la cherches : mais où est-il que fait-il sans moi ? nous te sommes certainement attaché, à toi et à cet humour toujours cet humour...
RépondreSupprimerFichtrement content de te savoir de retour, canne ou pas (moi qui suis un brin plus jeune, je ne me passe pas de la mienne!) Et, dans les aéroports (pas à Zaventem, hélas), la canne ouvre la "fast lane ... "
RépondreSupprimerMarc (depuis Madrid, où j'ai, ce matin, promené ma canne au Prado).
Merci, cher Victor pour ce mot. Je te lirai avec d'autant plus de plaisir! Christophe
RépondreSupprimerBon retour Victor et à vite pour te relire ! Je t'embrasse.
RépondreSupprimerQuel plaisir de te savoir de retour à ce poste de vigie. Nous nous réjouissons pour toi ... et pour nous !
RépondreSupprimerHeureux de ton retour au blog, et surtout que tu te portes bien ( et mieux)
RépondreSupprimerLongue vie au duo enfin reconstitué !
RépondreSupprimerMerci Pierre
Sous l’empire romain tous les nobles avaient une canne,après la révolution et au cours du XlXe siècle devient symbole d’élégance et tout homme bien né ne sort pas sans sa canne……. Et actuellement la canne de marche est redevenue un accessoire de mode et aussi une aide bien utile ……Cher Victor au plaisir de te rencontrer dans notre quartier marchant d’un pas alerte en compagnie de Gigi et de ta canne
RépondreSupprimerBonjour Victor, Je suis content que tu ailles mieux. On s'est connu à LLN quand j'avais moins de 30 ans. J'en ai maintenant plus de 70! Le temps a beaucoup passé pour tous les deux. J'aime bien lire tes blogs et ceux de Pierre. Michel Lubrano
RépondreSupprimerAh resurrexit! Nous le sommes avec toi!!!
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